L’étau des scandales sexuels se resserre sur les ministres islamistes du PJD !

Dimanche tous les yeux étaient tournés vers les ministres islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD, au pouvoir). Et pour cause, le pure-player Barlamane.com, qui a à son actif plusieurs jolis scoops, a lancé une véritable bombe dont la déflagration ne manquera pas d’atteindre la carrière d’au moins un ministre affilié au PJD. Selon le site électronique basé à Rabat, l’une des journalistes entendues en marge de ce qui est aujourd’hui appelé « l’affaire Bouachrine », a révélé qu’elle a été victime d’un viol de la part d’un ministre du parti islamiste. La journaliste a précisé aux enquêteurs de la BNPJ que ce ministre avait appartenu au cabinet Benkirane, avant de rempiler dans l’actuel gouvernement.
L’information relayée sur les réseaux sociaux a fait l’effet d’une bombe et les spéculations pour essayer de deviner qui serait le ministre « incriminé » par la journaliste sont allés bon train. Sur les six ministres qui ont déjà siégé sous les ordres de Benkirane, deux noms reviennent avec insistance dans les commentaires des internautes. Si donc, l’accusation de viol se révèle vraie, le chef du gouvernement serait une nouvelle fois  encore appelé à raccommoder un gouvernement qui n’en finit pas de prendre l’eau de toutes parts.

 

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  1. HJIRT 08:54 - mars 6, 2018

    Vous ne rapporter que des mensonges. L’objectif est de « défigurer » la bonne immage des ministres PJD dont Benkirane.
    Mêmes les accusations contre Bouachrine ne sont que des règlements de comptes contre un journaliste serieux et courageux pour le « dresser » comme ils ont faits avant avec NINI.

  2. Berrada 15:54 - mars 6, 2018

    السياسۃ كلها كذب

  3. Gone1 06:43 - mars 7, 2018

    هدا ما أتى به قانون التحرش….
    لي. أعطى زكو. لهلا إيفكوا.: »..
    ولما لا……/////
    وراه. ولأول…..مرة….اصحاب. لحي
    تيحصلوا….واش…….توزيعات….

  4. GrindTV 04:06 - mars 10, 2018

    En pleine campagne présidentielle, officiellement lancée le 24 février, avec un chef de l’Etat omniprésent et ne souffrant aucune concurrence véritable, l’étau semble se resserrer.