
Trois postes, trois basculements diplomatiques majeurs en faveur de Rabat. En moins de trois ans, Saïd Moussi est devenu, à son corps défendant, un acteur-clé de la reconnaissance internationale du plan d’autonomie marocain au Sahara. À tel point que certains observateurs ironisent : « Il fait avancer le dossier plus efficacement que les ambassadeurs marocains eux-mêmes. »
Tout commence début 2022 à Madrid. À peine nommé ambassadeur d’Algérie en Espagne, Moussi assiste – impuissant – à un virage stratégique majeur : Pedro Sánchez soutient le plan marocain, qualifié de « plus sérieux, réaliste et crédible ». Alger hurle à la trahison, et rappelle Moussi sans délai.
Plutôt que de le sanctionner, Alger lui confie ensuite le très sensible poste de Paris. Mais en juillet 2024, patatras : Emmanuel Macron apporte un soutien explicite à la souveraineté du Maroc sur le Sahara. L’ambassadeur Moussi n’a plus qu’à plier bagage. De nouveau rappelé. De nouveau pris dans une tempête déclenchée depuis l’Élysée.
L’homme finit par atterrir à Lisbonne fin 2024. Et rebelote. L’été 2025, le Portugal s’ajoute à la liste des pays occidentaux qui adoubent le plan marocain comme seule issue « sérieuse » au conflit saharien. Aucun rappel officiel cette fois ( pour le moment) , mais à Alger, on retient son souffle : la série noire va-t-elle continuer ?
Dans les cercles diplomatiques, cette série d’événements alimente un récit ironique : le syndrome Moussi. Le diplomate algérien, respecté et discret, semble porter malgré lui un étrange pouvoir : celui de précipiter les basculements pro-marocains. Certains à Rabat s’amusent même à proposer, mi-sérieux mi-moqueurs, de l’envoyer prochainement à Pékin ou même à Moscou.
Mais cette comédie de situation masque une réalité plus amère pour Alger : le vent tourne. L’Algérie, crispée sur des positions figées, perd du terrain sur la scène internationale face à un Maroc offensif, soutenu par des partenaires stratégiques. Les rappels d’ambassadeurs deviennent des aveux d’impuissance.
A Tamazgha (Numidie/Nova Africa) usurpée en Maghreb c’est encore de faux arabes qui s’affrontent entre eux sur une Terre Amazighe.
D-AKUD N-UFREN
C’EST LE TEMPS DU CHOIX
AMEZRUY D TIDETT D LSAS
l’HISTOIRE EST LA BASE DE TOUT.
AH’LIL D ALH’IF : LAMENTABLE
Des nations dans le Monde, sans bases ethniques et très diversifiées font tout pour s’entendre et s’unir.
A Tamazgha (Maghreb), ayant la chance d’avoir un fond commun amazigh au lieu de s’unir, ils se déchirent par l’arabo-islamisme.
Méthodes coloniales: créations du:
Parti National du Rif
Mouv. Autodetermination Kabyle
Encore une Republique ARABE Sahraouie sur une Terre amazighe!
à qui le tour … ils sont devenus fous.
Le Monde tourne sans l’Afrique du Nord. Les dirigeants s’affrontent, s’enrichissent et poussent les peuples à s’affrontent et à se déchirer.
Vive une Confédération de Tamazgha (Numidie Nova Africa) usurpée en Maghreb avec des fédérations régionales, seule solution pour amarrer les peuples, promouvoir la Paix et éviter la folie d’une guerre, qui ne profitera qu’aux occidentaux et leurs voraces multinationales.