Exclusif. Alors que l’Algérie est en pleine crise, les conseillers de Tebboune se disputent ses faveurs comme des gamins

Le Palais présidentiel d’El-Mouradia à Alger vit en ce moment au rythme des tensions qui ont éclaté entre les deux plus influents et fidèles conseillers du Président Abdelmadjid Tebboune. Il s’agit de Boualem Boualem et d’Abdelhafid Allahoum. Les deux hommes sont les deux oreilles de Tebboune dans tous les dossiers stratégiques du pays. Mais les deux hommes se jalousent et se disputent régulièrement dans une sempiternelle rivalité consistant à ravir le « cœur » et « l’attention » du Président !

Cette rivalité a pris une dimension burlesque qui a suscité un véritable malaise au Palais d’El-Mouradia ces derniers jours. Jaloux de l’influence et de la proximité qui ne cesse de se renforcer entre Boualem Boualem, officiellement le conseiller juridique de la Présidence, et Tebboune, Abdelhafid Allahoum pique des crises de jalousie et n’arrête pas de contester les privilèges octroyés régulièrement à son rival et concurrent.

Si Boualem Boualem demande une garde rapprochée pour une mission sur le terrain, Allahoum fait de même. Et si Boualem Boualem réclame des voitures de service rutilantes, Allahoum proteste et réclame un traitement du même standing. Les querelles entre les deux hommes ont fini par exacerber tous les collaborateurs en poste au Palais présidentiel d’El-Mouradia.

Les deux conseillers se disputent autour de futilités alors que l’Algérie sombre dans une profonde crise financière et économique sans précédent. Ces « gamineries » ont scandalisé les fonctionnaires de la Présidence algérienne qui ne comprennent comment deux puissants conseillers du Président peuvent faire preuve d’une telle inconscience alors qu’ils sont censés travailler d’arrache-pied pour permettre à l’Algérie de trouver des solutions idoines à ses cruels problèmes quotidiens. Il est à signaler enfin que le Président algérien Tebboune travaille très peu au Palais Présidentiel et délègue régulièrement du travail à ses deux conseillers qui lui font ensuite des comptes rendus en lui rendant visite à sa résidence présidentielle d’Idles dans le quartier chic de Ben Aknoun à Alger.

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  1. Nouri 00:36 - avril 19, 2021

    Au moins les conseillers sont algériens et non pas comme ceux du royaume qui sont israéliens.

    1. LotfiTurbo 10:46 - avril 19, 2021

      Je suppose que vous pensez à Azoulay? D’abord, il est marocain (depuis toujours), juif et marocain, ça existe, ça a toujours existé même en Algérie. Ensuite, il est un des conseillers, et si vous voulez savoir à titre honorifique (non rétribué).
      Maintenant, le si vous voulez on peut continuer la comparaison, autour du Palais il y a plusieurs technocrates de différentes spécialités et de différentes générations. Mais, ce n’est pas tout, ils ne sont que « conseillers », en d’autres termes ils faut encore que le gouvernement tranche, parfois, c’est vrai avec l’aval du Palais.
      Au moins, tout est clair et contrôlable. Malheureusement, aujourd’hui en Algérie, tout est flou, les citoyens algériens sont dans l’expectative sur tout ce qui se décide « en leur nom « . Ne croyez pas que je m’en réjoui, je suis de ceux qui pensent qu’on ne peut avoir un avenir qu’ensemble, mais pour cela il faut d’abord se débarrasser de ces « voyous » (hissaba). Ne soyez pas dans le mépris, vous avez tout à gagner à être pragmatique…..

  2. mouss 12:19 - avril 19, 2021

    APRES leur indépendance les bounifs auraient s il avaient l’honneur dont ils se prevalent a longue de journée développe leur pays en faisant un pays moderne c était le defi une necessite vitale une obligation l ultime vengeance apres avoir été traite comme des chiens pendant 130 ans

    pour en faire un paradis ne serait ce que pour prouver aux Français qu ils etaient capable de se demerder sans eux
    or ce pays se considere lui meme encore comme un pays du tiers monde
    incapable de transformer quoi que ce soit vivant encore dans les infrastructures de ceux qui on créer ce pays de toute piece et malgré toutes les richesses qui maintenant s epuisent
    quel echec quelle honte oblige de s enfuir vers cette France tant haï pour pouvoir manger a leur faim sous les insultes et les quolibet des anciens d algerie francaise
    qui constatent qu apres leurs depart eux ce territoires est revenu a l epoque du moyen age incapable de batir de cultiver de produire les les pieds noirs l avaient dit en partant l’histoire leur a donne raison

  3. mouss 12:22 - avril 19, 2021

    l algerie ne sera jamais un pays meme si le hirak gagne ce qui m étonnerai
    elle n en sera que plus divise les arrieres restent des arrieres des néanderthaliens projete par on ne sait quelle machine a voyager dans le temps au XXIem siecle hibernatus en quelque sorte

    1. kamel 17:13 - avril 27, 2021

      moussa fi rask soussa ahhhh meskin chouf chi taleb wola chouwafa marokia, Allah eychafi

  4. Sultan 11:18 - mai 11, 2021

    Un niveau bas de ces pseudo conseillers, ni références universitaires, académiques, juste des serviteurs zélés…de receveur postier, à un chargé d’écoute..