Exclusif. Aziz Akhannouch, amoureux et collectionneur d’œuvres d’art

C’est peut-être l’une des faces cachées du ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime. On savait que c’était un inconditionnel joueur de golf, mais il n’arrête pas de surprendre ceux qui prennent la peine de l’approcher.

Récemment, lors du vernissage de l’exposition de l’artiste Majida Khattari à Casablanca, le président du RNI, accompagné de sa femme, la femme d’affaires Salwa Akhannouch, a surpris tout le monde avec sa présence parmi plusieurs autres personnalités des domaines de l’art et de la politique.

Sauf qu’il n’était pas reparti les mains vides. Nos sources affirment que lui et sa femme ont acquis au moins trois œuvres de la jeune artiste. Cependant nos sources, comme l’entourage du ministre et celui de l’artiste, ont été incapables de dévoiler la valeur des trois œuvres. «Quand on aime (l’art), on ne compte», répond, amusée, une de nos sources qui a assisté au vernissage.

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  1. Lui 11:32 - octobre 16, 2019

    Il ne lui manque que la philanthropie

  2. Jihad 12:57 - octobre 16, 2019

    Ça nous s’intéresse pas ses hobby, le plus important comme ministre et de l’agriculture, de peche etc. est de rendre les comptes d’un côté et le compte rendu durant la période comme ministre dans so poste. Quelles sont les évolutions?
    Le programme du maroc vert?
    Pourquoi le maroc importé plus que certain pays le blé tendre?
    Pourquoi le blé pourri dans les Hangars des Scam? Etc….

  3. Mansour Essaïh 02:57 - octobre 25, 2019

    Mon œil ! Sauf  »من رحم ربك »‘, nous autres marocains nous n’avons ni reçu ni acquis une quelconque culture artistique qui nous permette d’apprécier et d’aimer les arts en général et la peinture en particulier.

    Nous, nous apprécions le dirham sonnant et trébuchant. Les femmes investissent, principalement, dans l’or dont le cours ne fait que croître au fil du temps et, accessoirement, dans les arts plastiques. Les hommes, quant à eux, investissent, principalement, dans les tableaux de peintures et accessoirement dans l’or. les hommes sont plus patients et peuvent attendre une à deux décades pour revendre les tableaux à 100 ; 1000 ; voire 10 000 fois le prix d’acquisition.

    Pauvres artistes ! Ils sont condamnés à pratiquer un art de subsistance pour voir, en fin de leur vie, leurs tableaux qu’ils ont cédés à quelques milliers de dirhams (Excusez ma générosité) éclatant de jeunesse et valant plusieurs centaines de millions de dirhams.

    Dure, dure, la vie d’artiste !