Les autorités algériennes ont invité les scientifiques chinoises à venir développer et tester leurs recherches en Algérie pour la mise en place d’un vaccin contre le COVID-19, a-t-on appris de sources sûres. Cette invitation a été officiellement communiquée aux autorités chinoises à la fin de la semaine passée par Alger qui désire accueillir les scientifiques chinois pour leur permettre de tester sur des patients algériens contaminés au COVID-19 afin les nouveaux traitements médicaux sur lesquels travaillent en ce moment la recherche chinoise dans une course mondiale effrénée à la fabrication du premier vaccin contre ce virus mortel.
D’après nos sources, l’Algérie est totalement dépassé par nombre de contaminations grandissant et face à l’échec de la généralisation du traitement à base de chloroquine, les autorités algériennes craignent une explosion de l’épidémie d’ici le début de l’été sachant que les chiffres officiels indiquent un bilan de décès qui dépasse les 600 morts morts. Ces chiffres sont en deçà de la réalité car la faiblesse des capacités de dépistage de l’Algérie rend impossible d’établir des chiffres crédibles sur la situation réelle de l’épidémie.
Ceci dit, les autorités militaires font face au sein des casernes et des unités de défense de l’armée algérienne à une énorme vague de contamination. En renforçant son partenariat avec la Chine, l’Algérie se veut être aux avant-postes de la course pour trouver des traitements médicaux efficaces contre le COVID-19.
Il est à signaler enfin que des chercheurs chinoises travaillent en ce moment sur l’élaboration d’un médicament en phase de test à la prestigieuse université de Pékin (Beida) permettrait non seulement d’accélérer la guérison des malades, mais aussi d’immuniser temporairement contre la Covid-19.