« Vous avez publié hier, mercredi 27 mars 2019, un article intitulé « Après la BMCI, un bug informatique chez la CIMR », dans lequel vous vous êtes livré à des allégations infondées sur la CIMR de nature à ternir l’image de la Caisse. En effet, aucun bug informatique n’a été enregistré chez la CIMR qui déploie tous les moyens nécessaires pour préserver la sécurité des données. Dans votre article, vous parlez de milliers d’envois et de diffusion à large échelle de données sensibles, donnant à toute la situation, une dimension qu’elle n’a pas.
Nous pensons qu’il aurait été plus judicieux de prendre contact avec notre institution afin de vérifier la réalité des faits et d’en prendre la réelle mesure avant de les publier. Pour resituer ceux-ci, nous vous précisons que dans le cadre de nos démarches habituelles de communication, nous avons informé nos adhérents du lancement d’un nouveau mode de prélèvement de leurs contributions. Un nombre très réduit de personnes, une centaine et non des milliers comme vous l’annoncez, a été destinataire du mail groupé. Une seule personne a utilisé l’option « répondre à tous » pour communiquer avec nous au lieu de répondre à l’expéditeur directement.
Nous portons à votre connaissance que nous avons entamé les actions nécessaires pour remédier à la situation. Nous vous demandons de bien vouloir publier cette mise au point dans le cadre de notre droit de réponse, et restons à votre disposition pour tout complément d’information.
Veuillez agréer, Monsieur, l’expression de nos sentiments les meilleurs ».
Donc le bug existe