Le palais présidentiel d’El-Mouradia à Alger a instruit sévèrement les services de sécurité notamment la DGSN, à savoir la Police algérienne, pour lancer une opération d’identification des relais et sources du média Maghreb-Intelligence dont le rayonnement et la justesse des informations révélées au cours de ces derniers mois ont porté un énorme préjudice à la tranquillité des dirigeants de l’actuel pouvoir algérien.
Ne savant plus à quel saint se vouer en raison de l’impact des articles de Maghreb-intelligence sur le public algérien, les services de sécurité à Alger ont associé malhonnêtement notre média à une affaire de « complot » fomenté de toutes pièces et sorti tout droit de l’imaginaire complotiste des dirigeants algériens impliquant un autre média algérien appelé Algérie Part. Le scénario élaboré par la Police algérienne est digne des plus grossières pitreries. Qui peut croire qu’un média international comme Maghreb-Intelligence puisse dépendre uniquement d’un seul collaborateur pour obtenir des informations de première main sur un pays aussi vaste et complexe que l’Algérie ? Comment peut-on ne pas comprendre qu’un média aussi bien informé que Maghreb-Intelligence dispose de plusieurs sources, de collaborateurs et d’informateurs très bien introduits au sein de plusieurs cercles diplomatiques basés à Alger ?
En vérité, l’opération de propagande dont Maghreb-intelligence est victime à Alger illustre le désespoir et la détresse profonde des dirigeants algériens qui ont été déroutés par nos articles et désarçonnés par notre influence sur le public algérien. Ce pouvoir d’influence procure des sueurs froides, voire provoque un véritable malaise au plus haut sommet du pouvoir algérien.
Au final, en désespoir de cause, la Police algérienne nous a offert une excellente et inédite promotion publicitaire totalement gratuite et inespérée. Merci beaucoup messieurs, grâce à vous, notre audience va encore redoubler, s’intensifier et perdurer.