Une atmosphère singulièrement délétère règne ces derniers jours au sein des effectifs de l’administration de l’Assemblée Populaire Nationale, et cela depuis l’entrée en fonction de son nouveau Président Said Bouhadja.
En effet, aussitôt plébiscité par ses pairs députés, Said Bouhadja a entamé sa première journée de fonction en tant que troisième homme de l’Etat flanqué d’un ancien « fonctionnaire » du siège du FLN, propulsé depuis au rang d’éminence grise, d’homme de compagnie et de chargé des affaires particulières du nouveau patron de l’hémicycle. Ce qui a fait jaser au parlement, c’est que le nouveau bras droit de président du parlement a montré rapidement ses limites autant en procédures juridique qu’en pratiques parlementaires. Des questions commencent même à se poser parmi les députés sur ses références et ses qualifications. Une situation qui renseigne sur le malaise qui plane aujourd’hui sur le « pouvoir législatif » algérien et le menace d’un « grand scandale ».
Le bricolage a été toujours une règle dans notre pays et c’est pour ça même si un jour on sera riche on sera toujours les derniers dans tous les secteurs d’activité !