Ali Haddad, poisson-pilote de Saïd Bouteflika aux Etats-Unis

Ce mardi 15 janvier, la presse algérienne a reproduit à l’unisson des extraits du discours « historique », prononcé la veille à Washington, par le président de la FCE Ali Haddad devant le think tank Transatlantic Leadership Network à l’occasion de la sortie de  L’ouvrage, intitulé  « l’Algérie et les relations transatlantiques  ». Un livre cosigné par le pianiste d’origine bosniaque Saša Toperić, vice-président du think tank et le responsable des projets Jonathan Roberts. Aux responsables du think tank américain s’ajoute un nom qui est loin de passer inaperçu. Il s’agit de Samy Boukaila, PDG de BKL Industries. Ce jeune industriel de 47 ans, parfaitement anglophone, est à la tête d’une entreprise familiale spécialisée dans la fabrication industrielle de fenêtres et de façades en aluminium qui compte parmi ses clients l’ambassade américaine à Alger pour le compte de laquelle elle a réalisé des Garde corps et des portillons. Samy Boukaila dispose d’un carnet d’adresses impressionnant à Washington où il est actuellement chercheur au think tank CTR-SAIS de l’Université John Hopkins à Washington.

Et ce sont justement les contacts américains du jeune entrepreneur-lobbyiste qu’a sollicité Ali Haddad avant son voyage américain. Selon des sources bien informées à Alger, Saïd Bouteflika aurait mandaté le patron des patrons pour « expliquer aux Américains l’avantage pour son pays de la stabilité politique à travers une succession dynastique ». Une tentative de contourner les services de renseignement contrôlés aujourd’hui par l’armée et qui avaient l’habitude de ce genre de missions.

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  1. Hychem Zaidi 17:09 - janvier 16, 2019

    Tant mieux ! Je pense qu’il est temps pour que les algérien apprennent à regarder ailleurs. C’est l’occasion à ne pas rater pour se débarrasser de la gangrène qui risque de nous emporter et le l’Algérie avec. L’algérien doit prendre conscience que la racine de tous les problèmes actuels et passés est en france. Ces harkis que De Gaule a laissé en Algérie en 1962 sont au sommet et décident de tout. Ajoutez à cela la grande et la très grave trahison des bâtards Bouteflika…je vous laisse imaginer !

    1. Ahsene Rahem 11:28 - janvier 17, 2019

      Vous êtes qu’un petit qui croit au père Noël.hhh

    2. Saumon 11:39 - janvier 17, 2019

      Toute a fait resant ce ne sont que des battar qui n’ont jamais aimé ni l’Algérie ni les algérien il faut les pour chassé de l’Algérie eux et leur batard d’enfants voleurs

  2. Ahsene Rahem 11:24 - janvier 17, 2019

    Ali hadad c’est un kabyle du pouvoir Algérien il mange il boit avec tout les dectateurs algériens je tire chapeau à monsieur mellal. Vive la kabylie

  3. Chanoune 17:11 - janvier 17, 2019

    C’est une bande de voyous qui règne en Algérie ils finiront tous par payer leur trahison

  4. Boudiaf 12:45 - janvier 18, 2019

    Pauvre Algérie.Pauvres algériens. Pauvre islam. PauvreS muSulmans. Ahlil age

    Ex

  5. mohand slimane 09:54 - février 6, 2019

    n’importe quoi