Affaire du logiciel espion Pegasus : Les dessous de l’acharnement des médias français contre le Maroc

De l’aveu même d’un ancien ministre de la république, la campagne menée contre le Maroc par certains médias français dont le Monde et Mediapart relève désormais plus de l’acharnement et de la mauvaise foi que de l’enquête journalistique orientée. Dans les dernières sorties des deux médias, c’est de la frustration et de l’impuissance que ressent le lecteur. Deux sentiments nourris par l’écroulement, comme un château de cartes, des accusations d’espionnage par le Maroc de 10.000 smartphones. Un millier d’entre ces téléphones seraient, selon Le Monde et Mediapart, français et appartiendraient au président de la république, à des ministres, des journalistes et des avocats. Cela dit, face au démenti ferme de Rabat, aucune preuve n’a été présentée par les dits-médias.

Et la cabale ne s’arrête pas là. Désemparée face à l’inexistence des preuves et la fermeté affichée par le royaume du Maroc, la dernière livraison du Monde en date du 31 juillet, se déchaîne carrément contre Rabat en essayant de faire pression sur les autorités françaises afin de les inciter à prendre position contre le Maroc. Le Monde qui se voulait le chantre d’une presse libre et indépendante s’est transformé en marge de cette affaire en un outil de « propagande anti Maroc », foulant au pied les plus rudimentaires des règles de déontologie journalistique. Les éditorialistes du quotidien parisien ont jeté aux orties les principes élémentaires de la presse fin de salir l’image du Maroc. Mais à qui profite le crime ?

Après la sorte du Policy Paper du très influent think tank allemand, Stiftung Wissenschaft und Politik, le doute n’est plus permis. La fondation germanique qui conseille, entre autres, le Bundestag et l’Union Européenne, appelle littéralement à stopper l’avance que le Maroc a prise sur L’Algérie et la Tunisie. Il est désormais certains qu’au sein de certains pays de l’Union Européenne, la montée en puissance économique et diplomatique du royaume inquiète et perturbe. L’indépendance et l’audace affichées par Rabat dans les prises de décision ont surpris plusieurs capitales européenne, habituées à se comporter en terrain conquis. Pour les dirigeants du royaume du Maroc ce temps-là semble définitivement révolu « quel que soit le prix à payer », assure avec fermeté un diplomate chérifien

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