Jusqu’à présent, Mohamed Mokkedem, alias Anis Rahmani, était l’intouchable patron des médias algériens. Pendant des années, avec sa télévision Ennahar TV et son quotidien Ennahar, il a distillé les informations qui faisaient les affaires des décideurs algériens, ses deux médias ayant notamment joué un rôle crucial dans la campagne électorale qui devait amener au quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika en avril 2014.
Porte-parole attitré du régime algérien, rien ne semblait alors pouvoir arrêter l’ascension de Rahmani. Mais depuis le début de l’été, son aura semble en avoir pris un sérieux coup à la suite de dérapages successifs, qui ont fini par irriter Saïd Bouteflika en personne. Ce dernier manifestera sa colère et prendra ses distances en participant en plein mois de Ramadan à un rassemblement public organisé dans le centre d’Alger, devant le siège de l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV).
Depuis ce jour, il se pourrait que la machine infernale se soit enclenchée à l’encontre du patron des médias le plus chouchouté par le régime algérien. Selon des sources proches du centre de communication et de diffusion de la Direction des services de sécurité (DSS), l’ancienne DRS, un rapport a été rédigé et remis récemment à la présidence de la République. Les « services » y affirment avoir enquêté sur de nombreux biens et comptes bancaires appartenant au directeur d’Ennahar TV à l’étranger. Selon nos informations, Anis Rahmani est soupçonné de posséder, avec sa femme Souad Azouz, des appartements dans un immeuble du 17ème arrondissement de Paris, ainsi qu’un autre bien immobilier à Gennevilliers, en banlieue parisienne.
Les enquêteurs de la DSS cherchent à savoir si ces appartements ont été achetés avec des fonds propres et légaux, sachant que la réglementation algérienne interdit aux nationaux de posséder des biens immobiliers à l’étranger financés par des revenus accumulés en Algérie. L’enquête révèle également l’existence d’un compte bancaire ouvert à Dubai, hébergé à l’Emirat NBD Bank, et au travers duquel transiteraient des fonds suspects. Selon plusieurs sources, ce rapport est en passe d’ être remis par Tartag à Saïd Bouteflika, afin d’étudier d’éventuelles mesures de rétorsion à l’encontre d’Anis Rahmani. A suivre…
Porte-parole attitré du régime algérien, rien ne semblait alors pouvoir arrêter l’ascension de Rahmani. Mais depuis le début de l’été, son aura semble en avoir pris un sérieux coup à la suite de dérapages successifs, qui ont fini par irriter Saïd Bouteflika en personne. Ce dernier manifestera sa colère et prendra ses distances en participant en plein mois de Ramadan à un rassemblement public organisé dans le centre d’Alger, devant le siège de l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV).
Depuis ce jour, il se pourrait que la machine infernale se soit enclenchée à l’encontre du patron des médias le plus chouchouté par le régime algérien. Selon des sources proches du centre de communication et de diffusion de la Direction des services de sécurité (DSS), l’ancienne DRS, un rapport a été rédigé et remis récemment à la présidence de la République. Les « services » y affirment avoir enquêté sur de nombreux biens et comptes bancaires appartenant au directeur d’Ennahar TV à l’étranger. Selon nos informations, Anis Rahmani est soupçonné de posséder, avec sa femme Souad Azouz, des appartements dans un immeuble du 17ème arrondissement de Paris, ainsi qu’un autre bien immobilier à Gennevilliers, en banlieue parisienne.
Les enquêteurs de la DSS cherchent à savoir si ces appartements ont été achetés avec des fonds propres et légaux, sachant que la réglementation algérienne interdit aux nationaux de posséder des biens immobiliers à l’étranger financés par des revenus accumulés en Algérie. L’enquête révèle également l’existence d’un compte bancaire ouvert à Dubai, hébergé à l’Emirat NBD Bank, et au travers duquel transiteraient des fonds suspects. Selon plusieurs sources, ce rapport est en passe d’ être remis par Tartag à Saïd Bouteflika, afin d’étudier d’éventuelles mesures de rétorsion à l’encontre d’Anis Rahmani. A suivre…
سلام عليكم
Notre président ,quoi quoi qu’on dise,n’aime pas les larbins ,des larbins qui se prostituent comme les appelle aboud.
Il s’agit d’un journaliste expérimenté mais il est lunatique et il est en mesure de changer casaque.Il s’agit d’un homme agissant comme tous le monde en fonction de leurs intérêts.